Aider les femmes qui souffrent de vaginisme à guérir est ma priorité et c’est la raison pour laquelle j’ai conçu une méthode de guérison sur-mesure spécialement pour elles. Pour avoir vécu cela moi-même, je souhaite que ces femmes puissent sortir de leur souffrance et entrevoir leur guérison comme un possible.
Tout d’abord, qu’est-ce que le vaginisme?
Le vaginisme est un trouble sexuel féminin qui se caractérise par la contraction involontaire des muscles du périnée rendant la pénétration douloureuse voire impossible.
Ce trouble est principalement d’origine psychologique. Selon l’histoire personnelle de la femme qui en souffre, la pénétration est perçue comme un danger, une menace, une souffrance, quelque chose de négatif qu’il faut éviter à tout prix. Des blocages se sont alors mis en place dans son esprit de telle sorte que le vagin se contracte de manière réflexe à chaque tentative de pénétration pour la “protéger”.
Pour en venir à bout, la méthode Je guéris du vaginisme ® a été créée. Cette méthode est fondée sur une approche holistique, globale qui prend en compte le corps, l’esprit et l’âme.
Pour être plus précise, le but de celle-ci consiste en une guérison au niveau physique mais aussi et surtout en une guérison au niveau psychologique. La guérison physique ne sera alors effective que si la femme qui souffre de vaginisme effectue un gros travail sur elle-même et ses blocages
“Je sais que je vais guérir”
C’est le premier pilier de la méthode pour une raison : c’est lui qui va conditionner tous les autres piliers.
Pour bien amorcer sa guérison, il est nécessaire d’avoir un état d’esprit positif. Il faut avoir foi à 100 % en sa guérison. Celle qui souhaite guérir du vaginisme doit se convaincre qu’elle y arrivera. Si elle en est convaincue, elle aura la motivation pour guérir et se mettra alors à l’action.
À l’inverse, avoir un état d’esprit négatif et défaitiste serait contre-productif.
Si elle ne croit pas en sa guérison, elle n’aura pas la motivation pour guérir. Et si elle n’a pas la motivation pour guérir alors elle n’agira pas. Et si elle n’agit pas, elle se maintiendra dans sa souffrance, ce qu’elle ne souhaite plus justement.
Bien sûr, avoir un état d’esprit positif ne signifie pas qu’il n’y aura pas de moments de doute et de perte de motivation.
Cela signifie tout simplement que cet état d’esprit positif-là permettra à la femme qui souffre de vaginisme de rebondir et ne pas perdre de vue son objectif.
S’il y a quelque chose à retenir c’est que : Toute chose devient possible à partir du moment où on la croit possible.
“Je sais que mon vagin est là, quelque part”
Savoir qu’on a un vagin ne signifie pas forcément le connaître.
La méconnaissance du corps est une cause assez fréquente de vaginisme. En général, la femme qui en souffre sait qu’elle a un vagin mais l’a totalement occulté. Elle ne l’a pas vraiment voire pas du tout intégré dans son schéma corporel. Elle s’imagine alors le vagin comme une cavité obscure et mystérieuse ou au contraire un minuscule trou par lequel seules les menstruations peuvent passer.
Ce qui est sûr le mot d’ordre “Je ne sais pas ce qu’il y a là-bas”.
Pour ce qui est du sexe masculin, elle se l’imagine énorme, disproportionné.
Bien qu’elle connaisse son sexe sur le plan cyclique (règles, ovulation etc…) elle ne le connaît pas forcément sur le plan physique. Cela est souvent dû à un manque d’éducation sexuelle, une éducation trop stricte, de lourds tabous autour de la sexualité et des conditionnements religieux ou sociétaux.
Ce pilier va permettre à la femme vaginique de connaître réellement son anatomie, son sexe pour mieux l’intégrer.
“J’ai le droit d’avoir une sexualité épanouie et de prendre du plaisir”
Il faut imaginer que nos cerveaux sont branchés sur les mauvaises prises et qu’il va falloir les débrancher et les rebrancher sur les bonnes.
En fonction de l’environnement dans lequel nous avons grandi, nous avons développé notre manière de voire le monde et notre manière de penser. Nous avons alors développé un grand nombre de croyances.
Malheureusement ces croyances n’étaient pas forcément positives…surtout lorsqu’il s’agissait de la sexualité.
La sexualité a toujours été et demeure un sujet tabou. Beaucoup de femmes souffrent de vaginisme car elles ont reçu une éducation stricte et culpabilisante par rapport à la sexualité.
“Tu dois te préserver jusqu’au mariage”
“Une femme ne doit pas prendre du plaisir”
“Une femme qui aime le sexe est une fille de joie”
“Tu vas saigner la première fois”
“La première fois fait très mal”
Ces phrases (parmi tant d’autres) ont conditionné certaines femmes qui souffrent de vaginisme à voir la sexualité et la pénétration comme quelque chose de mauvais, de menaçant qu’il faut éviter à tout prix.
“La sexualité/la pénétration n’est pas une bonne chose pour moi donc je dois l’éviter à tout prix” est le conditionnement négatif qui empêche la femme qui souffre de vaginisme d’accepter la pénétration.
Ce pilier va alors permettre à la femme qui souffre de vaginisme de se déconditionner des croyances qu’elle a intégré jusqu’à présent. Le but sera alors d’identifier les croyances limitantes qu’elle a sur la sexualité pour ainsi les remplacer par des croyances positives, réalistes sur la sexualité
“Je fais le choix de pardonner pour me libérer et avancer dans ma vie”
C’est là que le terme “holistique” prend tout son sens. Certes, le programme a été conçu pour aider les femmes qui souffrent de vaginisme à guérir mais il a également pour but d’aider ses femmes à guérir intérieurement.
Les femmes qui souffrent de vaginisme sont souvent des femmes qui ont été blessées, rejetées, trahies dans le passé et cela souvent dans l’enfance. Et elles grandissent avec des séquelles, des blessures qui n’ont pas encore totalement cicatrisé et qui les freine dans leur envie d’ouvrir leur cœur et d’accueillir l’autre. La plupart d’entre elles ont vécu des événements particulièrement traumatisants (abus sexuels, inceste, viol…) qui les empêchent d’être pleinement épanouies dans leur vie adulte.
A priori, il ne semble pas y avoir de lien entre les blessures du passé et l’apparition du vaginisme. Mais il y en a plus un : pour pouvoir faire l’amour, il faut avoir un cœur ouvert, être prête à accueillir son partenaire. Et cela s’avère compliqué lorsqu’on souffre de vaginisme.
Chaque femme a son histoire et dans cette histoire il y a parfois une blessure ou plusieurs blessures qui n’ont pas été « désinfectées ». Il y sûrement des personnes qui n’ont pas été pardonnées. Et la douleur qu’elles ressentent durant la pénétration a un sens. Elle est là pour rappeler à cette femme qu’il y a un travail à faire sur soi. Et ce travail consiste en partie à réparer les blessures du passé.
Accepter ses blessures et travailler sur elles c’est le chemin de la guérison.
Ce pilier va permettre à la femme qui souffre de vaginisme de guérir son cœur et ses blessures pour devenir la meilleure version d’elle-même.
“Je sais qui je suis, je m’aime et j’affirme ma puissance”
Nous avons tous une nature profonde qui fait de nous ce que nous sommes.
Malheureusement, cette nature profonde a parfois beaucoup de mal à éclore.
Le besoin de toujours paraître parfait auprès des autres…
La peur de se lancer…
Le peur d’oser vivre ses rêves…
La tendance excessive à s’auto-critiquer sévèrement…
La dévalorisation de soi…
Et bien d’autres encore qui nous empêchent d’avoir vraiment accès à soi-même.
Nous sommes uniques en notre genre et nous n’avons pas besoin de nous conformer à quoi que ce soit. Nous sommes libres de faire des choix, non pas par contrainte, mais par pure envie.
Ce pilier va permettre à la femme qui souffre de vaginisme de se reconnecter à elle-même c’est-à-dire de (re)découvrir qui elle est vraiment pour guérir.
Qu’est-ce que c’est concrètement ?
C’est une méthode qui se caractérise par un accompagnement individuel fondé sur du coaching de groupe, des conseils, du soutien et un suivi hebdomadaire pour accompagner les femmes vers leur guérison. Ce qui est d’autant plus rassurant c’est que les membres de l’équipe avec lesquels je travaille sont des femmes qui ont elles-mêmes vécues le vaginisme.
Elles savent alors quoi dire et quels conseils donner pour remonter le moral de ces femmes et les aider à guérir définitivement du vaginisme.
Les femmes qui appliquent la méthode bénéficient alors d’un cadre qui leur permet d’avoir du soutien et d’être écoutées et également de progresser à leur rythme sans avoir le sentiment d’être en retard ou perdue.
Elles sont intégrées au sein d’un groupe de femmes qui se soutiennent et s’aident mutuellement. En cas de coup de mou ou de perte de motivation, elles sauront qu’il y a d’autres femmes qui seront là pour les rebooster. C’est cela qui fait la beauté du programme : contrairement à ce que la société tente de faire croire, l’entraide et la cohésion entre femmes existe bel et bien.
De plus, même si elles parviennent à la guérison, le lien n’est pas rompu avec elles. Nous restons toujours en contact avec les femmes qui sont guéries pour voir comment leur vie a changé et savoir ce qu’elles deviennent. Et c’est une joie et une fierté de constater qu’elles sont plus épanouies, plus heureuses et confiantes qu’avant.
La méthode Je guéris du vaginisme ® est beaucoup plus qu’une méthode de guérison du vaginisme. C’est une méthode de guérison intérieure et totale qui permet aux femmes qui l’adoptent de se transformer et devenir les femmes qu’elles ont toujours voulu être
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